Retour à l'école

Mr Ollivander avait fait, de nombreuses années auparavant, ses études dans la prestigieuse école de magie anglaise, dans la maison de Serdaigle. Cette fois, il y revenait, mais pour d'autres raisons. Il traversa le parc, le hall d'entrée, monta dans les étages et arriva devant l'horrible gargouille qui gardait le bureau du directeur. Ollivander demanda le mot de passe au concierge qui passait par là, Miss Teigne sur ses talons, puis se laissa mener par l'escalier animé jusque devant une porte aux reflets chatoyants. Ollivander toqua, puis entra.

Dumbledore était à l'étage de son bureau entri de scruter le ciel dans son énorme téléscope magique. Entendant quelqu'un entrer il déscendit donc les quelques marches de son majestueux bureau afin de rejoindre la personne qui était entrer dans son bureau sans avoir prit rendez-vous avec lui. Lorsqu'il arriva en bas il reconnu tout de suite le vieil homme qui se tennait devant la porte, c'était le vieux Ollivander, l'illustre marchant de baguette dans le chemin de traverse. Dumbledore salue son convive et l'invita à s'assoir avant d'en faire de même et de lui demander d'une voix calme :

- Que me vaut l'honneur de votre visite ?

Les grands yeux pâles de Mr Ollivander, semblables à des lunes, parcoururent un instant le bureau de Dumbledore, puis le fabricant de baguettes dit d'une voix douce :

"Bonsoir, Professeur. Mais... Avant de vous exposer l'objet de ma visite, Dumbledore, je voudrais être assuré que... personne ne nous entend."

Dumbledore fût surpis de la demande d'Ollivander. Pourquoi personne ne pouvait les entendre ? Cela parraissait curieux mais Dumbledore décida cependant de faire le néscessaire pour que personne ne les entende. Ainsi il sortit sa baguette.

- Assurdiato ! lanca t'il sur la porte du Bureau afin d'empecher quiquonque d'entendre ce qui allait être dit dans le bureau.

Une fois cette mesure prise il rangea à nouveau sa baguette avant de reprendre sa conversation avec le marchant de baguette.

- Allez-y, je vous écoutes. Rassurez-vous plus personne ne peut désormais nous entendre !

Lorsqu'Albus Dumbledore lança le sortilège de Surdité sur la porte, Ollivander suivit la baguette de ses yeux, et continua d'observer la poche du directeur, comme s'il voulait apercevoir la baguette à travers les plis de l'étoffe.

"Belle baguette, n'est-ce pas... Mais... Je ne me souviens pas que mon père vous l'ait vendu... Vous l'avez changé ?"

Dumbledore fût fortement enbarassé par la question. Il ne voulait pas mentir à Ollivander mais ne pouvait non plus pas lui dire la vérité sur la baguette de Sureau. Il décida donc de répondre à sa question d'une autre manière, sans vraiment y répondre.

- Votre père a surement dû oublié de vous en parlez, il semblerait extroordinaire qu'il vous ait énumérer toutes les baguette qu'il a vendu, temps de mnde vennaient chez lui et viennent maintenant chez vous...

Dumbledore le regarda mais reprit aussitôt la parole pour ne pas lui laisser le temps de riposter.

- Maintenant, dites-moi. Quelle est l'objet de votre visite ?

Il sourit au vendeur de baguette.

Les yeux pâles d'Ollivander restaient toujours fixés sur la poche du directeur.

"Justement, c'est... C'est à propos d'Elle. Votre baguette !"

Le marchand se ratatina sur son siège, comme effrayé par ses propres paroles, puis reprit :

"Soyez prudent, Professeur Dumbledore. Certaines personnes... sont cupides."

Dumbledore fût prit d'une soudaine frayeur. Savait t'il pour la baguette de Sureau ? Non impossible ! Son secret avait été si bien gardé, il ne l'avait dit à personne ! Non ca ne pouvait être cela, Ollivander devait parlé d'autre chose.

- Pardon , je ne vois pas de quoi vous voulez parlez, Ollivander ! Je vous prit de vous expliquez !

Dumbledore essayait de garder une voix calme comme à son habitude malgré sa peur.

"Professeur Dumbledore, je suppose que vous connaissez ceci."

Il traça dans les airs, du bout de sa baguette, le signe des Religues de la Mort. Un trait vertical, entouré d'un triangle, lui même entouré d'un cercle.

Dumbledore écarquilla les yeux en voyant le signe, sauta de son fauteil et montra la porte du doigt en disant :

- Vous vous trompez, Ollivander ! Je n'ai jamais vu ce signe et maintenant cessez de m'importuner ! Si vous n'avez rien d'autre à me dire, je vous prie de sortir d'ici sur le champ !

Dumbledore n'était pas quelqu'un d'agressif mais Ollivander semblait être au courrant du secret qu'il avait toujour gardé au fond de lui, il ne pouvait pas lui en parler et ne pouvait non plus pas l'entendre parler de cela ! Il allait devoir réfléchir à la façon dont il devrait réagir. Non pas qu'il n'avait pas confiance à Ollivander dirrectement mais il savait que celui-ci pouvait se montrer faible et craquerait peut-être sous le sortilège de l'imperium que les mangemorts n'hésiteraient pas à lui lancer pour obtebir sformations.

Ollivander se leva très lentement, et articula :

"Si vous souhaitez que je sorte, Professeur, je m'en irai. Mais sachez que vous serez confronté un jour ou l'autre à la réalité !"

Dumbledore s'énerva pour de bon cette fois.

- Vous ne savez pas de quoi vous parlez !

Il prit ensuite un bic, pensa très fort au chemin de traverse et prononca ces mots tout en pointant sa baguette sur l'objet :

- Potus !

Ensuite il s'adressa à nouveau à Ollivander, plus calmement cette fois.

- Maintenant fates moi le plaisir d'accepter ce porte-au-loin qui vous ramenera tout droit au chemin de traverse !

» Retour
» Draco le retour !!!
» De retour de la ronde [pv Ron]
» Retour chez soi